Bajazet
Plongeons dans l’expérience de la perception, de la participation créative et de la réaction esthétique. Cette conception du bio-parc représente un grand « défi ». Il faudra donc attendre plusieurs années de travail expérimental pour pouvoir en vérifier les résultats.
Le parc du PAV est aussi une pratique de biopolitique concrète car la vie bio culturel est mise en relation avec le système capitaliste hyper industriel mondialisé de nos jours. Au sein de celui-ci, on expérimente une nouvelle conception muséographique sous le signe du paradoxe :
« le musée en dehors du musée ». Ce musée représente donc un grand changement : c’est une exposition de peinture qui n’est plus réalisé pour transmettre des valeurs à l’histoire mais plutôt pour communiquer certaines émotions (ou climats émotionnelles).
Piero Gilardi : « Je ne pense pas seulement aux hybridations de l’art-cinéma ou de l’art mode, mais surtout à celle de l’art-sociologie ou de l’art informatique et des biotechnologies ». Le bâtiment est semi-souterrain. Il est caractérisé par un plan centrale avec une coure intérieur.
L’entrée est une serre orientée vers le sud pour bénéficier de l’apport de l’énergie solaire. Le ssurfaces vitrées on été réduites afin que les pièces et les parcours des ateliers soient obscures et sans apports de lumières naturelles. Un « toit vert » permettantr de conserver l’humidite du terrain forme une couverture. Les materiaux sont d’origines naturelles bois de mélaise
Premier niveau : - recherche théorique (art/ écologie/biologie)
Deuxième niveau : - création artistique participative qui consiste en la pratique collaboratrice - installation artistique au