Bakhita, verlaine
Les maltraitances qu’elle a subi chez ses premiers maîtres étaient aussi très dures à lire, et je me mettais à la place de Véronique Olmi : devoir écrire les souffrances de Bakhita, à qui elle n’a jamais parlé, avec justesse et respect pour elle n’a pas dû être …afficher plus de contenu…
J’ai été touchée par la dimension spirituelle de son parcours, la simplicité et la douceur de son apprentissage, et la confusion avec laquelle elle apprend à être aimé. « Il était là pour ne jamais te laisser seule. C’est une grande violence. N’aime son esclave. » page 250Citations de l’œuvre :page 13, 14 + page 29 : 15-19Ces deux extraits sont liés, ils marquent le début d’une vie, d’une histoire, mais pas merveilleuse, l’histoire d’une femme qui vit, qui sourit, qui raconte et qui a gardé une chose, une chose qui lui appartient. Dès ces premières lignes, on sait que ce sera dur, on pleure déjà, déjà on aime Bakhita, parce qu’elle est la vie, le courage et l’amour. J’ai aimé Bakhita dès les premières lignes. page 31 : 55-59 A ce moment précis, Bakhita laisse son identité derrière