Billet Blog Dove Sangeetha
Dove révélateur de beauté
Take care because Dove care
Vous êtes plus belles que vous ne le pensez
Florence, Melinda, Olivia, Shelly... toutes ces femmes ont un point commun : leur fâcheuse tendance à se dévaloriser. En effet, qui n’a jamais eu l’impression d’avoir les traits trop tirés ? Un visage pas assez fin ou une silhouette trop ronde ?
Parce qu’un complexe peut en entraîner un autre, Dove est plus que jamais décidé à les gommer. Tour d’horizon d’une campagne qui a fait mousser courant 2013.
Un, deux puis trois coups de crayon. Il est 9h à San Francisco quand les premiers rayons de soleil s’infiltrent dans la pièce. Assis sur un tabouret, un homme s’essaye au fusain dans une ambiance ouatée. Il s’agit de Gil Zamora, un ex-agent du FBI. A l’aveugle, il dessine le portrait de sept femmes invitées à se décrire. Florence se confie alors : «Ma mère me disait que j’avais une large mâchoire». Shelly, quant à elle, se met à nue : «Plus je vieillis et plus j’ai des tâches de rousseur».
Après une première esquisse, les modèles se retirent et laissent place à des inconnus rencontrés plus tôt. L’homme répète alors l’exercice à partir de leurs qualificatifs. C’est ainsi que pour Chloé, Florence «avait un joli menton, un menton fin».
Peu à peu, un second portrait est brossé. Les visages pâles s’adoucissent, les yeux s’illuminent et la bouche va jusqu’à esquisser un sourire. La musique nous tire une larme sans trop d’effort. Le constat est frappant : le portrait des modèles est bien plus flatteur que leur autoportrait.
Mais comment expliquer un tel fossé ? Pourquoi les femmes se dévalorisent-elles autant ?
A en croire Dove, il semblerait que la société de l’image soit en cause. A la télé, dans la rue comme dans les magazines, qui n’a jamais été confronté au culte de la minceur ? Partout, le mythe de la femme idéale s’infiltre par les pores et se loge dans nos esprits. Pour y contrer, Dove nous livre son secret. Une crème 2 en 1 qui hydrate et