BioEthique
La bioéthique «vient de ''bio'', qui veut dire ''vivant'' et d' ''éthique'', qui signifie ''ce qui est bon et utile pour l'homme''. La bioéthique s'intéresse aux activités médicales et de recherche qui utilisent des éléments du corps humain». Elle englobe beaucoup de dommaine et est en quelque sorte un endroit de notre subconscient qui nous dit qu'il ne faut pas le faire, que cela n'est pas bien ou qui nous entraine un degout. Ces actions peuvent etre differente dans la tete des gens selon si l'action en question est normal dans cette cultures et pas dans une autre.
A défaut de fondements, la bioéthique a des origines philosophiques. Certes dans les débats, les principes siègent détachés de leurs origines, « qui sont passées sous silence, comme par un accord tacite qui leur reconnaîtrait de la sagesse indépendamment de la philosophie qui les sous-tend » et les positions idéologiques d’arrière-plan restent dans la sphère du privé. Mais cela ne signifie pas qu’elles sont absentes des débats.
Les origines de la bioéthique sont hétérogènes et disparates.
Quelques exemples :
1) L’interruption volontaire de grossesse ou l'avortement.
La loi de 1975 dite loi Veil permet aux femmes de mettre fin à leur grossesse en cas de « situation de détresse ». A l'origine, l'IVG ne pouvait se pratiquer qu'avant la 10e semaine de grossesse. En 2000, la durée a été portée à 12 semaines. Aujourd'hui, la condition de détresse a été supprimée par l'Assemblée nationale. L'avortement n'est plus une exception au droit à la vie du foetus mais devient un droit à part entière pour les femmes, au nom de la libre disposition de leur corps.
2) L’adoption des enfants par des couples de même sexe.
Les couples mariés et les célibataires peuvent adopter des enfants sous certaines conditions. En revanche, une réticence se fait jour lorsqu'il s'agit d'un couple ouvertement homosexuel. Des considérations d'équilibre psychologique des enfants sont souvent mises