a) L’industrieLa fabrication de la plupart des articles domestiques dans le monde entraîne la libération de substances chimiques toxiques, dans l’atmosphère. C’est le cas, notamment pour la fabrication d’objets en matières plastiques. Selon les cas et les pays, les entreprises sont contrôlées et/ou doivent produire des autocontrôles ou évaluation de leurs émissions polluantes. En Europe, certaines données sont obligatoirement publiques et transmises à un registre européen des rejets et des transferts de polluants. Le sol, l’eau et l’air doivent être pris en compte, pour les entreprises produisant des produits dangereux produits à plus 2 t/an, et de déchets non dangereux à plus de 2 000 t/an. b) L’agriculture L’agriculture est en partie responsable de l’effet de serre et du réchauffement climatique du fait des émissions de trois gaz à effet de serre :• le protoxyde d’azote, suite à l’épandage d’engrais azotés ;• le méthane, produit par le système digestif des ruminants • le dioxyde de carbone. Ce gaz est émis pas les engins mécaniques (tracteurs, moissonneuses, camions) et le chauffage ou la climatisation des bâtiments d'élevage.En France l'agriculture compte parmi les premiers secteurs émetteurs de gaz à effet de serre. En contre partie, les prairies permanentes sont considérées comme des stocks ou puits de carbone au même titre que les forêts.Le réchauffement peut être localement une source de maladies, ou de mortalité pour les cultures et l'élevage. Et la pollution atmosphérique - par l'ozone notamment - nuit aussi aux cultures et aux rendements. Ainsi, au début des années 2000, les effets mesurables de l'ozone sur le rendement des cultures à l'échelle régionale entraînaient en Europe des pertes économiques pour au moins 23 cultures par année.Les lois Les déchets sur la voix publique, tout comme la pollution visuelle contribue à gâcher la vue de nos citoyens ainsi que celle de nos touristes. Elle contribue également à donner une mauvaise image de nos villes, et