Caca
Les flux du IED pour l’Amérique latine et les caraïbes ont augmentés de 13% jusqu’ à 159 billions de dollars en 2010 (tableau b), suivie d’un recul de 32% en 2009. Cependant ils restent en dessous de leur niveau de 2008 (figure1). La plus grosse augmentation fut en Amérique du sud où IED augmenta de 56% à 86.5 billions de dollars, le brésil contant à lui seul pour 56% de ce total. Les flux d’Amérique centrale ont augmentés de 20% à 25 billions de dollars où Mexico a bénéficié de 19 billions. Pour le cas des caraïbes, les flux ont diminués de 26% à 48,1 billions de dollars où les financements off-shore quant à eux ont compte pour 95%. Le rebond du IED en 2010 est due principalement à la forte augmentation du Cross-border M&A, cela a augmenté par rapport à des valeurs négatives à cause de l’investissement décroissant en 2009 à 29 billions de dollars en 2010 (tableau D et E). Ce qui fut le plus gros niveau depuis 2000. Cela montre un renouveau de l’intérêt des firmes étrangères dans l’acquisition d’entreprises en Amérique latine, Après une décennie de lents cross border M&A activités dans la région.
D’autre part, les valeurs estimées des projets de Greenfield en 2010 ont augmentés de 8% après une descente de 13% en 2009, tenant la remonte des flux du IED depuis l’impact de la crise financière.
Depuis une émergence sans précédent des investissements, les pays asiatiques en voie de développement, principalement la chine et l’Inde, sont devenu les acquéreurs principaux des firmes latino-américaines et du caraïbes en 2010 (section 4.B). Leurs acquisition total est de 20 billions de dollars ou 68% du total. Le partage pour les pays en voie de développement est de seulement 12% et ceux d’Amérique latine et des caraïbes est de 17%. Pour le cas des investissements de Greenfield, les pays développés sont responsable de 79% du total des projets en 2010. Tandis que l’Amérique latine et les caraïbes représentent 10%