Camus la peste
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TEXTE I (p11-12) Folio plus classiques
Du début a « ou l’on joue gros jeu sur le hasard des cartes »
Ce texte constitue l’incipit de l’œuvre. Traditionnellement un narrateur pose les bases d’un récit qu’il situe à la fois sur le plan temporel et spatial, Ici nous sommes en présence d’un personnage qui se présente come une sorte d’historien et qui annonce des événements paraissant en inadéquation avec le lieu ou ils se sont déroulés et avec la vie qu’y mènent les habitants.
[Problématique] Comment, donc, inciter les lecteurs à lire l’histoire d’événements qui lui demeurent encore mystérieux dans un tel cadre ?
[Plan] Nous verrons qu’il s’agit d’une chronique racontée par un narrateur qi se cache, que les faits se sont passés dans un lieu peu pittoresque abritant des habitants qui mènent une vie peu exaltante.
A. Une chronique racontée par un narrateur qui se cache :
1. la chronique d’événements récents et sortants de l’ordinaire Le livre est apparut en 1947 supposition d’événement récent vu le 194_ au début du livre. Événement fictif de la peste, cette date cache autre chose => allégorie. Il faut voir une histoire à travers une autre. Rappel de candide, Paradoxe avec la chronique (recueil de fait passer réellement dans l’ordre de leur déroulement) or la date est imprécise ce qui accentue les événements mystérieux.
2. Un narrateur qui habite Oran. La date est un événement fictif, ou, elle importe peu, allégorie qui pousse à une double lecture. Interprétation d’une seconde lecture, un porté universel et la date n’a pas plus d’importance. L’importance des fait : ‘ notre petite ville, nos concitoyens ‘ il fait partie des habitants de la ville, c’est un témoin crédible puisqu’il a vécu les événements a l’intérieur, qu’il parle de ce qu’il connait.
3. un narrateur qui ne se dévoile pas. Il y a un point commun entre les événements et le