Censure chine
-La presse : Toutes sortes de reportages, journaux, magazines et médias s’intéressant à des sujets contraignants pour la République Populaire de Chine et sa culture, comme le Tibet et le massacre de la place Tienanmen ne peuvent voir le jour. Par exemple, les suppléments du Quotidien de la Jeunesse de Chine ont été supprimés car ses articles sur l’histoire de la Chine n’étaient pas conformes à celle du gouvernement et étaient « dérangeants ».
De plus, les journalistes étrangers qui prennent intérêt à ces sujets défendus sont eux aussi censurés et ne sont pas les bienvenues dans le pays alors qu’ils ont normalement droit à la liberté d’expression et à la critique. Certains ont donc été retirés de leur carte de presse. Quant aux journalistes chinois, 34 sont de nos jours emprisonnés cars ils sont considérés comme dangereux. D’autres citoyens ont subis le même sort pour avoir répondu aux questions de journalistes étrangers. -Internet : Le gouvernement chinois utilise un pare-feu « le grand pare-feu de la Chine », par lequel l’accès à certains sites, blogues réseaux sociaux et forums contraignants est bloqué. En effet, 400 à 500 mots clés comme par exemple « Tiananmen », « Tibet libre » et « Droit de l’homme» sont filtrés sur les moteurs de recherches, même internationaux (Google et Yahoo!). Les personnes voulant créer un site internet dans le pays doivent présenter une pièce d’identité aux autorités de contrôle. Même les cybercafés sont sous haute surveillance, les détails de l’historique des connexions des clients sont enregistrés et donnés aux autorités. En plus de cela, les clients doivent être pris en photo et présenter leur pièce