Cinéma engagé français xx
Depuis 1900, les cinéastes Français ont beaucoup combattu pour des causes qu’ils jugeaient importantes. Soit à travers les films historiques, soit en créant des fictions autour de leurs idées.
Beaucoup de réalisateurs français ont, par des récits de faits historiques, défendu des causes et tenté de dénoncer des drames sociaux. Après la première guerre mondiale, plusieurs films avaient pour but de montrer l’horreur… bien entendu, le camp Français était enjolivé et les Ennemis étaient plus que rabaissés. Ce phénomène se reproduit juste après la 2eme guerre mondiale. A notre époque, des films comme « la Rafle » ou « Un Long Dimanche De Fiançailles » essayent de rétablir l’histoire, au plus proche de l’époque, en essayant de juger les actes, et non les êtres.
Les réalisateurs français affectionnent aussi les fictions autour d’une cause. Par Exemple, Costa-Gavras a dénoncé La dictature des colonels en Grèce dans le film Z. Il a aussi dénoncé le totalitarisme Staliniste et la torture dans le film « L’aveu », Bien que le héros reste fidèle à l’idéale Communiste.
Philippe Lioret, dans son film Welcome, Dénonce « le délit de solidarité ». C’est l’histoire d’un maître nageur qui aide un immigré à traverser la manche pour rejoindre le Royaume-Uni. Ce film est une très bonne représentation des souffrances et des difficultés des immigrés en situation irrégulière.
Contrairement au cinéma américain, jouant sur la grosse production, le Cinéma français préfère dénoncer les drames sociaux à travers des histoires plus ou moins fictives. En ce moment, il y a de plus en plus de film comiques ou tragiques montrant le malaise social et les répercutions sur le peuple (« La journée de la jupe », de Jean-Paul Lilienfeld, « Nul part, Terre Promise » d’Emmanuel