Commentaire littéraire : Nous allons étudiez un extrait du chapitre 7 de Pierre et Jean œuvré par Guy de Maupassant. On peut dire que cet extrait correspond à une tirade qui est celle de Mme Roland où elle avoue à son fils Jean la relation qu’elle avait et qu’il est le fils de Maréchal. Ce texte présente l’intérêt du discours descriptif dans un récit. Il vise à observer comment s’établiront l’alliance et l’union entre Mme Roland et son fils Jean. Dans un premier temps, Maupassant dénonce l’intimité des personnages en se servant des sentiments qu’il transformera et affirmera en une complicité finale. Tout d’abord, nous voyons que Maupassant évoque l’intimité de Mme Roland et Jean. Cela est visible car Mme Roland fait part de son désespoir à son fils Jean, en effet dans la syntaxe : « …Moi j’ai assez souffert… » (l.443) ; « et sans me mépriser ! » (l.443) ; « non, je ne peux plus ! » (l.444), on peut voir la douleur passée de Mme Roland. Elle fait une comparaison aussi de sa vie si elle n’avait pas eu Maréchal, Pierre et Jean : « Sans vous ce serait vide, noir et vide comme la nuit» (l.458-459). Elle fait une accumulation pour approfondir son désespoir par rapport au passé : « je n’aurais jamais aimé rien, rien connu, rien désiré, je n’aurais pas seulement pleuré » (l.459-460). Par une hyperbole : « j’ai trop souffert » (l.443), ça veut dire qu’elle ne peut plus souffrir, on le voit aussi par des indices de jugement : « assez souffert » (l.443) ; « je ne peux plus » (l.444). Elle indique ensuite qu’elle a mal depuis un certain temps : « ce n’est pas d’hier, va, c’est de longtemps… » (l.444-445) « Et puis » (l.465). Elle fait un retour dans le passé en indiquant un lieu où elle évoque sa rupture avec Maréchal : « Et nous sommes arrivés ici » (l.468-469). Elle en vient à juger la vie : « misérable et trompeur, la vie » (l.468), elle démontre bien ici son désespoir, elle avoue à Jean qu’elle a été blessée. Ce qui, en premier lieu est