Cohesion sociale et instance d'intégration
I. Le lien social et ses transformations
Lien social : relations d’ordre professionnel, familiale, amicale. Avoir un lien social c’est appartenir à une communauté, c’est être solidaire avec les autres
Ferdinand Tonnies, sociologue allemand, a caractérisé les sociétés comme basées bcp + sur la recherche de l’intérêt, qui proviendrai de l’industrialisat°, l’urbanisat° et la rationnalisat° des act° éco (=bien être personnel). Il compte sur la famille, l’école et le travail pr restaurer ce lien.
Il part d’un principe : le lien social est le résultat d’un processus de socialisation (=apprentissage de codes, de normes, de valeurs). Cpdt, il reproche à la famille de mal tenir le rôle de socialisateur : il reconnait que la famille socialise en fonction de sa classe sociale, d’une manière héréditaire et entérine ainsi des situat° sociales inégales participant à la faiblesse du lien social.
En ce qui concerne le travail, il prolonge les idées de Durkheim, le considérant comme le lien social.
Le travail ne peut pas répondre au processus de socialisation du fait de certains comportements :
- Montée de l’individualisme
- Crise industrielle
- Rejet du modèle fordo-taylorien
- Les salariés snt démotivés car le travail n’est + la reconnaissance des compétences du salarié (ils ne snt qu’un maillon du cycle de p°)
- L’école : celle-ci n’a jamais répondu a supprimer les I entre les différents milieux sociaux (socialise mal les enfants défavorisés et socialise bien les enfants favorisés), et paradoxe d’Anderson
Fracture sociale lié à une faute de processus de socialisation.
II. L’exclusion sociale
La précarité s’est considérablement développé, l’exclusion familiale s’est poursuivie, qui entrainent des cqs matrimoniales importantes (environnement relationnel se dégrade) et apparait l’exclusion.
Aujourd’hui, la lutte contre l’exclusion est devenue difficile car l’exclusion s’est banalisée (de + en +