Comment le narrateur oppose la vertu à l'amour ?
PLAN
I. Une tirade : argumentation indirecte
1. La dénonciation de la religion
2. Présence de libertinage
II. Un duel opposant l'amour à la vertu
1. La vertu, un chemin pénible et incertain
2. L'amour, un chemin plaisant
III. L'importance de l'amour
1. Le bonheur passe forcément par l'amour
2. L'amour est suivi de souffrances
ARGUMENTS
I. Une tirade : argumentation indirecte
1. La dénonciation de la religion
CL de la religion « sacrifice, croix, ciel, prédicateurs, mystiques, confessez».
Le religion est assimilée à la gradation « prison, croix, supplices, tortures des tyran ».
Il dit que la religion est une « pratique triste et mortifiante ».
Parle indirectement au religieux « prédicateurs qui voulait me ramener à la vertu, dîtes moi qu'elle est indispensablement nécessaire » et ne cachait pas qu'elle est « sévère et pénible ».
Comparaison aux pensées des mystiques : « ce qui tourmente le corps est un bonheur pour l'âme ». Il accentue le fait que c'est « un paradoxe insoutenable» soit que la foi religieuse est insensée.
2. Présence de libertinage
= Remet en cause les dogmes établis = libre penseur
Phrase courtes, affirmatives qui montre son points de vue
Les mot qualifiant l'amour sont mélioratifs alors que ce pour la vertu sont péjoratifs.
« il défie » qu'on se fasse une autre idée de ce qu'il veux prouver, aussi avec la phrase : «Tiberge […] vos armes ! » = métaphore de la guerre « vaincre, armes » → il NE veut SURTOUT PAS avoir TORT ou qu'on le CONTREDISE.
« Laissez-moi [...] » → intention de donner son point de vue
Utilisation de modalisateurs = « peuvent », « peut-être », « croirai », « paraissent » → dévoile son opinion subjectivement = libre penseur → sûre de ces propos à la fin
Conclu sur SON point de vue : la notion du bonheur repose sur la liberté de l'individu, le corps, les plaisirs, les « douceurs » et la