comment sa va bien tout le monde ici
452 mots
2 pages
rezrerhbeuf uffh fhqieehfriefehg hfihdihdhdhf cgggfgf gdfghfvuhrugjhidfjiedfeifeifejfeoref siosfisrjdhdijsisdfidiaturetiutriturtiqùetuerçtzereorpàzezkdcsalope de ta mere de pute slt sa va bien de tou le monde ici vdff avec ton gros sac a dis que th allais vuenv djsdskdc sa se sa de traperedgg vvgdf vivre le quotidien sans aucune fausse espérance ou valeur illusoire. L’étranger est un roman sur l’absurde, sur la possibilité de vivre de façon plus authentique en se rendant compte de la facticité du monde sociétaire environnant. Pour cela, Camus a choisi de présenter un personnage qui incarne cette possibilité dans son rapport à la quotidienneté. Meursault est un homme qui vit au présent, dans l’immédiateté, ne s’angoissant jamais sur l’avenir et ne connaissant ni remords ni regrets. Eprouver le sentiment de l’absurde, c’est ainsi avoir un certain rapport au temps et, pour exprimer ce rapport dans son roman, Camus a choisi une forme d’écriture particulière, une narration simple, dépourvue de fioritures, qui décrit froidement les actes immédiats du personnage et rend compte de ses émotions présentes sans revenir sur son passé ou envisager des éventualités.
L’histoire décrit la vie de Meursault depuis le jour où il apprend la mort de sa mère. Le livre raconte les obsèques, le retour à la vie de tous les jours et la construction de deux relations : avec une femme (Marie), et un voisin de palier aux activités troubles (Raymond). La deuxième relation l’amènera à commettre un crime sans préméditation et à passer en jugement. Son séjour en prison, l’absurde du procès et sa condamnation à mort, l’amèneront à changer, non pas dans sa façon de vivre mais dans ses actes de pensée, au point de connaître l’aube d’une existence nouvelle lors d’une ultime altercation avec un aumônier, une existence dans laquelle son esprit connaîtra liberté et sérénité, lui permettant de réaliser qu’il a été (et reste) heureux.
Ainsi que Camus en parle dans Le mythe de Sisyphe, L’étranger