Cet extrait est tiré de l'oeuvre de Balzac intitulé "La Duchesse de Langeais ".
Ce Roman est le deuxième volet du triptyque appelé 'l'Histoire des treizes".
Ce passage est une longue réplique d'une conversation du général Montriveau et de son ami le Marquis de Ronquerolles.
Lors de cette conversation l'ami du général, explique à celui-ci, le comportement et la mentalité des femmes du Faubourg-Saint-Germain.
*PROBLEMATIQUE*
*PLAN*

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Au début de la longue réplique de Ronquerolles, l'utilisation de l'adjectif possesif "Mon" et de l'adjectif "cher" laisse le lecteur à comprendre qu'il y a une grande complicité et familiarité entre les deux amis.
Le verbe "s'embarrassais" employé à l'imparfait de l'indicatif, signifie que Armand est soucieux, depuis longtemps, par rapport à la duchesse.C'est pour cela que Ronquerolles lui adresse ce long discours.
Celui-ci, continue en employant le conditionnel avec le verbe avoir, qui nous indique que si Armand éventuellement lui aurait parlé de ces problemes plus tôt, le marquis l'aurait surment aidé plus tot.
Le mot "intrigue" est ici employé sous la forme d'une litote, nous comprenons que ce nom reprend l'amour perdu de Armand envers la duchesse.
Le présent de l'impératif est employé par l'intermédiaire du verbe apprendre. L'impératif, ici, a la valeur d'un conseil, une généralité sur les femmes du faubourg s'en suit.
La comparaison "comme toutes les autres" confirme la généralisation sur les femmes du faubourg.
La figure de style "baigner dans l'amour" est une métaphore qui a pour but que le lecteur imagine la femme type du faubourg se tremper le bout des pieds, sans plonger totalement, dans l'eau; en loccurence ici : l'amour.
L'expression "mais elle veulent posséder sans ètre possédées" est un paradoxe consistant à jouer avec le mot