Commentaire composé sartre
Au début de l’extrait, Jean Paul Sartre fait l’éloge de ses lectures d’enfance, et nous exprime dans une hyperbole son goût d’enfant pour des livres qui lui semblaient merveilleux : « j’adorais ». C’est ensuite dans deux métaphores que le narrateur nous décrit des « petits théâtres (à) la couverture rouge à glands d’or » avec de « la poussière de soleil sur les tranches ». De plus, il qualifie grâce à une métaphore tous ces ouvrages de « boîtes magiques ». Par ailleurs, Jean-Paul Sartre nous narre que « quand (il) les (ouvrait) (il oubliait) tout » ; c’est ici à l’aide d’une subordonnée circonstancielle de temps et en insistant fortement sur la conjonction « quand », qu’il nous fait comprendre que ces livres avaient sur lui un pouvoir magique sans précédent. Enfin, Jean-Paul Sartre utilise dans cet