commentaire composé le roi se meurt ionesco
Eugène Ionesco, dramaturge du XX siècle a écrit cette pièce tragi-comique en 1962. Elle n’est composé que d’un seul acte et son intrigue représente essentiellement la mort deBérenger, le roi. Le passage étudié constitue le dénouement où Bérenger, guidé par Marguerite, entre dans la mort. Nous nous demanderons si le décès du roi et progressif ou instantané en s’intéressanttout d’abord aux didascalies puis dans un deuxième temps à la tirade de Marguerite.
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Dans un texte théâtrale, les indications scéniques sont très importantes pour sa mise en scène. Ici,les didascalies ne sont pas utilisées que pour une représentation mais jouent un rôle dans le dénouement de Le roi se meurt à savoir la mort de Bérenger.
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Tout d’abord on remarque uneprogression lente dans les actions du roi puisqu’il atteint le trône en trois étapes puis avec la réitération de : il (l.4) ; il (l.7) et il (l.9). Ce sont des groupes de mots ou verbes de déplacementsmarquant ainsi un mouvement de Bérenger. Dans cette première partie de didascalies, nous sommes seulement pris à témoins de la scène, comme-ci on voyait celle-ci du haut.
Seulement trois ligne après(l.12), on commence à entrer dans le corps du roi qui, guidé par Marguerite, se laisse peu à peu entraîné vers la mort. Il (l.12) jusqu’à devenir (l.15). On remarque la comparaison : immobile commala pierre qui désigne bel et bien une perte de contrôle du roi. On se retrouve ainsi dans le physique du roi et on ressent véritablement ce qu’éprouve Bérenger.
Malgré cette comparaison, de laligne 19 à la ligne 26, on décrit le décor à travers l’esprit du roi puisqu’il disparaît en dernier et > (l.25). On est dans l’âme inconsciente du roi qui est en train de s’éteindre lentement,doucement et progressivement.
Ainsi, l’auteur cherche, au début, à nous prendre pour témoin de la scène en nous décrivant les successions d’actions du roi. Puis peu à peu, on s’encre dans la peau de... [à