Commentaire de texte sur Georges Duroy
Mme.Kuhn
28 mai 2015
Sujet d’invention
Bel Ami de Guy De Maupassant
Le soir même, Georges Duroy rassuré par l’issue du duel, dina avec une de ses conquêtes amoureuses et ne put s'empêcher de lui faire le récit de l’épisode:
« Chère amis, vous avez dû extrêmement parler de mon duel ce matin, me voila vivant et en bonne santé devant vous. Cela ne pouvait pas être autrement. Mon adversaire m’étais largement inférieur d'abord c’est un très mauvais journalistes dont les articles sont véritablement médiocres, ensuite c'est un homme dont l'aspect physique est repoussant: un petit homme vertueux chauve et qui porte toujours des lunettes. Il était vraiment pas à ma hauteur. Je pensais même pas qu'il pouvait venir m'affronter lors du duel ! Mais lorsque j'eux le pistolet à la main, je pensais plus qu’au et à ma volonté de gagner !
Il fallait que je tire avant mon adversaire pour avoir plus de chance de rester en vie.
Lorsque la voix qui semblaient venir de loin m’ordonna de tirer, je regardais mon adversaire dans les yeux, mon bras se leva et j’ai tiré.
Mon adversaire, lui aussi avait tiré. Il aurait pu par un malencontreux hasard m’atteindre, lui par contre était encore debout. C'était à ce moment-là que je ne savais plus si j'avais été touché ou pas, aucune douleur, aucun sang ne semblait couler de l’ensemble de mon corps. Je ne pouvais plus bouger je ne savais plus quoi en déduire. Pourtant j’étais sur que mon adversaire, myope
SUJET D’INVENTION
BEL AMI
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comme il l’était ne pouvait pas m’atteindre, sauf par erreur. Il faut que je vous avoue, quand même, que manipulant le pistolet tellement bien, je ne pouvais pas rater l'homme qui était en face de moi, mais j’eux tellement pitié pour ce pauvre bourge je fis semblant de la rater. Mon intention était seulement de le faire peur et non de le tuer. Je voyais le médecin ainsi que les témoins courir vers moi mais je les rassurera en affirmant que je me portais bien.
Vous savez cher amie, ce duel n'est rien