Commentaire extrait "L'avare" de Molière
Nous allons étudier un extrait de la pièce de théâtre « L'avare » 1668 de Molière. Dans un premier temps nous allons étudier la double énonciation de cette extrait, avec deux sous partie, les paroles de Cléante et Marianne d'un cote et d'un autre cote les paroles d'Harpagon. Et dans une seconde partie nous allons voir comment s'exprime chez Cléante et Marianne leur amour contrarié, les deux sous partie seront d'un coté comment réagit-ils a cette annonce de mariage, et comment exprime-t-ils leurs amours.
Dans cette première partie, la double énonciation, nous allons voir en premier les paroles entre Cléante et Marianne, et ce qu'elle veulent dire pour eux. Dès la première réplique de Cléante, il fait comprendre a Marianne qu'il ne veut pas la voir en t'en que belle-mère : « Je ne vous assurerai point que je me réjouis du dessein où vous pourriez être de devenir ma belle-mère », ceci nous montre qu'il veut que ce soit lui qu'elle épouse, et non son père. Il exprime même de la répugnance a ce mariage ; « Je doit avoir de la répugnance ». Marianne lui fait comprendre, dans sa réplique, que elle aussi éprouve de la répugnance pour ce mariage et lui fait comprendre. Pour le rassurer elle lui dit même qu'elle est prête a refuser le mariage pour lui : « Je vous donne ma parole que je ne consentirai point au mariage qui vous chagrine. ». Elle lui fait comprendre aussi qu'elle attendait avec impatience qu'il lui avoue ses sentiments « Il m'a fait plaisir de m'expliquer ainsi ses véritables sentiments. J'aime de lui un aveu de la sorte; et s'il avait parlé d'autre façon, je l'en estimerais bien moins ». Cléante de son coté, fait comprendre dans son avant-dernière réplique comment il aime Marianne et qu'il est tombé fou amoureux d'elle et ce c'est lui qu'il voudrait voir comme mari de Marianne et non son père. Mais pour ne pas trop faire comprendre tous ce qui ce passe entre eux, Cléante dans sa dernière réplique « C'est un compliment que je fait pour