[Commentaire] jacques prévert, paroles, 1946
« Pour toi mon amour » (p.46)
Cela semble être un poème lyrique alors que non. Il y’a beaucoup d’anaphores.
« L’acccent grave » (p.61)
Allusions à Shakespeare. On distingue un jeu de mots sur « Etre où ne pas être ». où pensée, imagination, rêve…
« Pater Noster » (p.63)
J.PREVERT ne supporte pas l’Eglise. Pour lui, on est responsable des évènements sur Terre et pas Dieu.
« Le cancre » (p.68)
C’est l’éloge d’un mauvais élève.
« Chasse à l’enfant » (p.90)
C’est un enfant maltraité qui s’enfuit.
« Familiale » (p.92)
Vie familiale naturelle, banale. Les gens acceptent la guerre, ça fait partie de la vie.
« Cet amour » (p.149)
Poème « central » parlant de l’amour, de son histoire, de sa généralité, ses qualifications.
« Page d’écriture » (p.155)
Même esprit que le « cancre ». Il ne reste que l’oiseau et l’enfant. L’univers de la classe s’écroule et on revient au naturel, d’où une liberté. Le professeur est austère.
« Déjeuner du matin » (p.157)
C’est l’habitude du matin, peut-être une séparation de couple, ou une mère et son fils qui quitte la maison.
« Pour faire le portrait d’un oiseau » (p.164)
Cage symbole de l’enfermement.
Il y’a une idée de liberté, lorsque l’ oiseau entre, s’il chante, on arrache une de ses plumes et on signe de son nom.
Message Il est impossible de peindre un oiseau. Le seul intérêt est de les voir (chanter) et de les laisser libre.
« Le Grand Homme » (p.170)
Mesures pour la prospérité, la gloire.
« La Brouette » (p.171)
Il y’a une inversion des rôles entre Dieu et l’homme.
« La Cène » (p.172)
Idée de l’auréole dans le dernier vers.
« Les paris stupides » (p.198)
« Blaise Pascal », philosophe, référence aux paris de Pascal : c’est un pari Stupide.
« Barbare » (p.216)
On constate beaucoup d’anaphores. On passe d’un poème lyrique à une poème engagé. (« Quelle connerie la guerre ».) Images abominables (chien), le dueil… A la mort de