Commentaire la bruyère
La Bruyère
L’auteur :
La Bruyère est du 17ème siècle ( 1645 – 1696 ), issue d’un milieu bourgeois, il fait des études de droit et devient alors avocat puis conseiller des finances. Il va devenir précepteur du Duc de Bourbon qui est le petit fils d’un des personnages des plus puissant, le Grand Condé. Grâce à cela il analyse son entourage. En 1688, il écrit Les Caractères, son œuvre est composé de maximes et de portrait.
Analyse du texte :
L’Homme est monomanique. La Bruyère critique cela, il passe à côté de sa vie. Au 17ème, l’éxcès est critiqué. L’Homme ici dépeint , est passionné par ses tulipes.
Le curieu est quelqu’un qui est attaché a quelque chose .
Dans la 1ere partie du texte, il parle de la curiosité en générale, quant à la 2ème, il va illustré sa définition par un portrait du fleuriste. Ce qui va nous composé 2 grandes parties du plan dans la méthode suivit.
I / La curiosité , paragraphe 1
La Bruyère, critique sur la curiosité le long du paragraphe. Il dit que la curiosité n’est pas l’attrait pour ce qui est beau mais pour ce qui est à la mode (ligne 2 à 3). Critique le sentiment de vanité, d’orgueil « ce qu’on a et que les autres n’ont pas. Attachement à quelque chose d’inutile « par la petitesse de l’objet ». Critique l’éxcès, sentiment trop fort de la curiosité, ligne 4. Au 17ème, la passion est trop percu comme trop violente pour l’être humain et donc fait tomber dans l’éxcès. La curiosité est un sentiment aussi fort que l’amour et l’ambition. L’amour c’est consacrer sa vie a une personne , et l’ambition dans la société s’accepte , se comprennent, contrairement à la curiosité qui se consacre entièrement à quelque chose de ridicule.
Il y a un parrallélisme de construction « Ce n’est pas .. mais...» , qui entraine une dévalorisation de la curiosité supplémentaire. Ce parrallélisme permet a La Bruyère d’appuyer tout ce que n’est pas la curiosté. Au fil des phrases, La Bruyère rend l’objet de la curiosité ridicule,