Commentaire la princesse de babylone
Premièrement, nous retrouvons les éléments parodiques du conte, le lecteur retrouve ici les personnages typiques du conte merveilleux dont il a l’habitude. Voltaire les présente en introduisant des hyperboles. Tout d’abord, le vieux roi : comme très souvent dans les contes, « le vieux Bélus, roi de Babylone ». Il est d’abord présenté comme un vieillard. Il est vieux et prétentieux comme l’indique la phrase « se croyait le premier homme de la terre », ligne 1. Il est entouré de ses « courtisans » et « historiographes ». Ce roi règne sur un univers merveilleux et parfait, allusion à son palais et son parc.
On retrouve la belle princesse sous le nom de Formasante, formé sur le latin formosa qui signifie belle. On observe la situation classique du conte, la jeune fille de 18ans qu’il faut marier. Sa seule qualité est son physique comme nous pouvons le voir aux lignes 19 et 20, « mais ce qu’il y avait de plus admirable à Babylone, ce qui éclipsait tout le reste, était la fille unique du roi, nommée Formosante ».
Comme très souvent dans les contes, il y a la recherche du prétendant, le plus parfait qu’il soit comme nous pouvons le voir aux lignes 28, 29, 30, 31 et32, « Il était dit encore que le bras qui aurait tendu cet arc tuerait le lion le plus terrible et le plus dangereux qui serait lâché dans le cirque de Babylone. Ce n’était pas tout : le bandeur de l’arc, le vainqueur du