Commentaire les fourberies de Scapin «La galère»

L'intrigue de la comédie les fourberies de Scapin est en partie inspirée du Phormion de Térence. Jean-Baptiste Poquelin nommé Molière est née en 1622 et meurt en 1673. Molière qui travaille pour le roi louis XIV écrit de nombreuse pièce dont les fourberies de Scapin qui est une comédie en prose. Cette comédie en prose à été crée au Théâtre du Palais-Royal le 24 mai 1671. Dans cette scène Scapin fait croire à Géronte que son fils a été enlevé par un Turc et que s'il envoie pas cinq cent écus au truc,ce dernier va emmener son fils en Alger. Et dans cette situation Géronte et partagé entre son amour pour l'argent et la tendresse paternel. Scapin lui joue cette fourberie car il a promis au fils de Géronte de lui trouvé cinq cents écus pour qu'il puisse épouser la femme qu'il aime. En quoi la relation entre le maître et le valet peut elle être comique? Pour commencer nous verrons l'affrontement entre le maître et le valet et pour terminer nous étudierons le comique dans cette scène.

Dans cette situation ce n'est plus le maître qui commande,c'est plus tôt il se fait avoir par le valet. On assiste ici à une inversion. Tout d'abord c'est le valet et non le maître qui mène la discussion. En effet il presse Géronte sans cesse et ignore ses hésitations. On remarque en effet la présence forte du champs lexical du temps: «Que deux heurs», «peu de temps», « tout à l'heure». Ainsi que l'enchaînement rapide de répliques,une phrase courte répond à une phrase courte. En effet Scapin utilise fortement le champs lexical du temps pour presser Géronte à lui donner l'argent. À chaque fois que Géronte se plaint Scapin lui montre que s'il donne pas l'argent il reverra plus son fils. Scapin ignore les hésitation de Géronte en lui répondant par des phrases courtes qui mène Géronte à ne plus hésiter et penser à son fils. De plus,Le maître et le valet tentent de se jouer des tours mutuellement et de se tromper durant toute la scène mais