Commentaire lettre persane n°28 montesquieu
Rica raconte donc sa découverte de l’occident qui est pour lui un monde à part. Dans cette lettre, il raconte sa découverte du théâtre.
Dans un premier temps, je vais parler de la description de Rica à propos du théâtre et du mode de vie des français. Puis, je vais parler de la critique et de la satyre faite par Rica à propos des personnes du théâtre ainsi qu’a la religion
Dans le premier paragraphe, Rica parle de sa surprise à la vue d’une pratique peu commune pour lui mais pourtant si habituelle pour les français, surtout au XVIIIe siècle (l.1 «Je vis hier une chose assez singulière, quoi qu’elle se passe tous les jours à Paris»). Il sous-entend alors qu’il vient de découvrir le mot «comédie» qui se définit comme une espèce de scène (l.1-2 «Et va jouer une espèce de scène que j’ai entendu appeler comédie»). Il poursuit alors avec une description des éléments importants qui composent un théâtre (l.3-4). Puis, à partir le la ligne 6 qui marque le début du deuxième paragraphe, il décrit la pièce qu’il regarde et en fait l’éloge (l.8 «Avec une éloquence qui, pour être muette, n’en est que plus vive»).
Dans cette partie du texte, Rica critique les personnes qui s’occupent du théâtre, qui, sont obligés d’aller partout. Il explique qu’ils sont pris d’un age peu avancé pour pouvoir supporter la fatigue. (l.13-14 «Ils sont obligés d’être partout: ils passent par des endroits qu’eux seuls connaissent, montent avec une adresse surprenante d’étage à étage»). Il évoque, à partir de la ligne 28, un récit d’une femme qui est très triste (l.29 «la plus malheureuse fille du monde»). Cette femme est chanteuse d’Opéra, elle