Commentaire littéraire, horace
Et la loi du devoir m'attache à tous les deux. »
Sabine en vient donc au raisonnement qu'il ne faudra pas qu'elle pleure la victoire ou la défaite de son frère ou de son mari mais qu'elle célèbre dignement la victoire du gagnant sans penser grâce a quelle sang versé le gagnant a vaincu car elle dit : « La mort qui les menace est une mort si belle, » (vers 723) et « Qu'il en faut sans frayeur attendre la Nouvelle. ». Sabine essaie donc de ne plus craindre l'issue du combat.
« Tu n'as frappé mes yeux d'un moment de clarté
Que pour les abîmer dans plus d'obscurité. », Sabine parle à la fortune dans ces vers et elle dit que la fortune qu'elle avait eu avant, n'étaient qu'une flatteuse illusion pour lui enlever juste après et la plonger dans plus de désespoir.
L'ironie tragique est aussi présente dans cette scène. Elle réside dans le fait que Sabine ait souhaitée cette paix mais c'est elle qui va souffrir pour qu'elle soit possible. En effet dans les vers 759 à 762, Sabine se plaint aux dieux en expliquant