Commentaire composé sur le lendemain de la crise de zola
En effet, le travail de l’ouvrier est très désagréable voire mortel. Il se met donc en danger car il n’y a pu d’emploi. La personnification ; « l’argent lâche s’est caché » (L.7-8) présente quant a elle l’argent que se faisaient les industries en profitant des ouvriers sous-payés. Cependant, aujourd’hui, elle n’existe plus, les ouvriers sont aux chômages, ils n’ont plus rien. Le champ lexical du corps quant à lui ; « tendre la main, son bras se raidit, sa gorge se serre. » (L.27) montre clairement le résultat de cette crise. L’ouvrier ne peux plus lutter, son corps ne répond plus, il ne peut plus supporter la …afficher plus de contenu…
L’ouvrier travaillera même pour une faible rémunération. Il se contentera de ce qu’il pourra obtenir car c’est sa seule possibilité. On retrouve à nouveau une gradation ; « dehors, dans la rue, sur le pavé » (L.5). En effet l’ouvrier n’est pas au chaud chez lui. Il doit se battre, ainsi, il fait les rues à la recherche d’un travail qui lui permettra de ne serait est ce que nourrir sa