Commentaire satire des médecins
Dans la réplique suivante de Monsieur Diafoirus il y a le début du comique de geste avec les 2 diafoirus qui tiennent Argan pour l’analyser. Avec de surcroit la présence de latin « qui dicis » justifiant le caractère pédant que Molière associe au médecin. Cette utilisation du latin est autant présente chez le père que le fils avec la ligne suivante Thomas qui dis « dico que ». Cette allitération comique permet donc d’insister sur l’expression inutile dans le cas présent. De plus l’affirmation suivante de Thomas qui n’est pas précis « qui ne se porte point bien » mais aussi fausse, Argan n’est pas malade mais seulement hypocondriaque, confirmant ainsi que Thomas est un …afficher plus de contenu…
Dans le second mouvement on retrouve principalement une opposition entre les différents diagnostics. Tout d’abord Monsieur Diafoirus essaye de confirmé ce que dis son fils tout en soutenant son collègue suggèrent donc qu’il y a un soutient entre les médecins. Ainsi il utilise encore une fois le jargon médical justifiant donc son caractère pédant : « parenchyme », « breve, » « pylore », « meat » « cholidoques ». Sa tentative de rattrapage qui est comique car encore une fois Argan fais une chute comique en le contredisant « Il vous ordonne sans doute de manger force rôtie. » « Non que du bouilli