Commentaire stylistique
Devoir maison de stylistique numéro 1
Plan détaillé d’un commentaire de stylistique comportant une partie rédigée : voyage au bout de la nuit ,1932, Louis-Ferdinand Céline
« La grande guerre ». Ainsi surnomme-t-on la première guerre mondiale, ayant duré de 1914 à 1918. Des bilans humains et matériels catastrophiques, c’est ce qu’elle laisse derrière elle.
Louis-Ferdinand Céline a pu expérimenter l’horreur de ces combats sanglants jusqu’à ce qu’il soit blessé …afficher plus de contenu…
La guerre est en effet un facteur nouveau dans la vie de nombreux protagonistes, et donc responsable du changement des comportements humains.
3) L’animal martyre
Puisque face à la guerre, l’homme prend la place de l’animal, c’est l’animal qui devient alors la victime et récupère les sentiments que l’homme a laissé derrière lui comme nous pouvons le constater lorsque Ferdinand parle de son cheval. Il est désigné comme « malheureux » ligne
18 puis « patient » ligne 22. Ce cheval subit donc la déshumanisation de l’absence de morale de l’homme puisque selon sa description physique il est blessé, en manque « d’état ». …afficher plus de contenu…
II) Une forte oralité du discours
1) Expressions d’un propos oralisé
Comme il est possible de le constater, le texte comporte de nombreuses oralités qui se sont installés dans l’œuvre en parallèle de l’avancé de la narration du personnage qui s’engage en tant que soldat dans l’armée. Cette façon de s’exprimer est donc ici incitée par la guerre et sa retranscription littéraire, ayant fait grand bruit à la publication, était une volonté de l’auteur pour permettre une meilleure imprégnation du texte pour le lecteur.
- « ça vient drôlement la pitié », « ça » reprend la pitié, désigné en dernier mot de la