Commentaire de texte quasimodo
Pour commencer, Quasimodo considère la cloche comme une amie qu’il est désireux de voir. : « On ne saurait se faire une idée de sa joie les jours de grande volée ». Il est tellement heureux de voir la cloche qu’« il montait la vis du clocher plus vite qu’un autre ne l’eut descendue ». Il entre « tout essoufflé » dans la pièce ou se situe la cloche. Cette situation est très exagérée, l’auteur a donc utilisé une hyperbole. L’usage de ce procédé souligne bien le fait que Quasimodo est très content lorsqu’il voit cette cloche.
Puis, ce lien amoureux s’exprime par les sentiments qu’éprouve Quasimodo envers la cloche. On utilise ici le champ lexical des sentiments : « amour », « recueillement », « il lui adressait doucement la parole », « il la plaignait ». Quasimodo est très doux et très gentil avec la cloche. Il la considère comme une femme, un être vivant qui a des sentiments.
De plus, cet amour est ponctué par de nombreux gestes affectueux. On utilise ici le champ lexical des gestes très affectueux : « flattait », « caressait », « étreignait ». Il est très affectueux avec la cloche, tel un mari avec sa femme.
Ainsi, c’est un lien amoureux et affectueux qui unit Quasimodo à sa cloche. Il s’exprime grâce à l’empressement de Quasimodo à voir la cloche et à sa joie lorsqu’il la voit, puis grâce aux sentiments qu’éprouve Quasimodo envers la cloche et, enfin, grâce aux gestes affectueux qu’a Quasimodo