Le 17 janvier 2013, dans le journal « l’Étoile provinciale », Madame Rioux nous présente un article d’opinion intitulé « Montée de lait » portant sur l’obsolescence programmée, terme possiblement méconnu pour certains, désignant le fait d’écourter la durée de vie de certains produits afin d’accroitre leur taux de remplacement.
Dans ce texte à but informatif, l’auteure, avec une touche d’ironie, débute en nous faisant part d’une expérience personnelle en lien avec le sujet. C’est par la suite qu’elle nous parle plus précisément du problème en question, en expliquant le fonctionnement des grandes entreprises et leurs intentions face aux consommateurs.

Pour nous mettre en contexte, elle commence donc par nous raconter l’histoire de la courte vie de sa cuisinière qui, à l’âge de sept ans seulement, a rendu son tablier. En effet, après avoir fait venir un spécialiste pour régler le problème de l’électroménager affichant une alerte inconnue, elle apprend que la petite pièce devant être remplacée n’existe plus sur le marché. Bien qu’elle réussisse à insérer quelques touches d’humour à son texte, l’article porte bien son titre puisqu’on peut facilement ressentir la frustration que ressent Rioux par rapport à son anecdote.
Par la suite, l’auteure explique le stratagème des grosses compagnies qui, de façon totalement intentionnelle, limitent la durée de fonctionnement de leurs produits à moins de dix ans, avec le simple objectif d’augmenter leurs profits de vente. Grâce à la technologie de nos jours, la plupart des appareils sont maintenant dotés de matériel électronique pouvant facilement être programmé pour cesser de fonctionner à un certain moment. Le nombre de compagnies de qualité supérieure diminue alors pour laisser place à quelques entreprises cherchant toujours à faire plus d’argent.
Selon Rioux, le problème est également du côté des consommateurs qui, attirés par toutes les nouvelles technologies, veulent toujours le dernier modèle et, bien entendu, à un