Compte-rendu "l'insoutenable légèreté de l'être"
Kundera
Le bonheur réside-t-il dans la légèreté de l’être ou dans sa pesanteur ? En effet, quelle qualité correspond le mieux à la condition humaine ? Et où doit s'arrêter le sérieux pour céder la place à l’insouciance, au frivole, et inversement ?
C’est à travers l'histoire d’amour entre Tereza et Tomas que l'écrivain tchèque parvient à engager une réflexion philosophique. Tereza éperdument amoureuse de Tomas et jalouse, et lui, tiraillé entre son amour pour elle et les multiples tentations de la chair… Des personnages d’une profondeur psychologique et d’un réalisme saisissant, et entre tous ces êtres, un profond tiraillement entre la pesanteur et la légèreté.
Avec finesse, Kundera nous expose ses réflexions sur la vie à travers une romance dans laquelle s’entremêle rêve et histoires réelles, récit et allégorie, prose et poésie. A mi-chemin entre le roman et l’esquisse, ce livre indéfinissable, nous rappelle qu’il n’y a définitivement pas de règle en littérature. Un livre duquel on ne ressort pas le même qu'auparavant.
Stratégie de teasing :
Principe : Opposition entre la légèreté de l’être et la pesanteur.
Teasing autour de l’éternelle question : la pesanteur est-elle vraiment atroce et belle la légèreté ? Et que faut-il choisir pour être réellement heureux et réussir sa vie ? Question vaine car nous ne saurons jamais si nous avons fait le bon choix puisque la vie elle-même est une esquisse.
Nous choisirons d’orienter notre communication vers un axe artistique afin de bien représenter l’œuvre littéraire de Kundera, qui est à la fois une œuvre d’art et de philosophie, qui ne peut être décrire simplement par des mots.
Phase 1 : la légèreté, la liberté avant tout et l’indépendance totale de l’être.
« Sans fardeau, l’être humain devient plus léger que l’air, il s’envole et s’éloigne de l’être terrestre, il n’est plus qu’a demi réel et ses mouvements deviennent eux aussi insignifiants. »
Visuel artistique et flou