Compte rendu
Début de la pièce, noir. Une femme accompagnée d'un guitariste chante dans une langue non identifiée et qui se termine par un chant anglais. Un choeur apparaît au fond de la scène et casse le rythme de la chanson. Le spectacle peut commencer. Durant tout le long de la pièce, nous avons pu admirer le jeu de lumière qui était énormément travailler. En effet la lumière faisait pleinement partie du décor et définissait l'espace scénique grâce à un immense tapis blanc où les différentes couleurs de la lumière se reflétaient dessus. Les comédiens jouaient réellement avec la lumière comme le montre la scène où Mme Smith doit passer par un couloir définit par cette lumière afin d'aller ouvrir la porte au Capitaine des Pompiers.
Selon moi, le décor était composé de 3 parties : une partie pour la chanteuse et « l'Homme-pendule » côté cour, les deux estrades où sont exposé les couples dans l'arrière scène, et enfin une partie où se déroulait l'action sur l'avant scène avec le tapis blanc. Ce décor, plutôt simple et majoritairement composé de blanc, était modifié par les comédiens eux-mêmes au fil de leurs différentes scènes, ce qui donnait au spectacle un côté dynamique.
Certains comédiens comme Marianne Thiéry et Camille Perrin jouaient deux rôles à la fois. La transition entre ces personnages était claire comme par exemple lorsque Marianne passait du chant à la bonne grâce à son serre-tête.
Les costumes étaient très décalés, tout à fait dans le genre de l'absurde. En effet, Mr Smith portait une robe et des talons au