Consommation et épargne dans les modèles de la synthèse de keynésienne
* Les comportements de consommation dépendraient de facteurs objectifs et subjectifs. * Conditions objectives aux revenus primaires, à la redistribution et à l’inflation.
Revenus primaires : salaires, bénéfices, intérêts.
Redistribution : politique fiscale et parafiscale : impôts, taxes et prestations. * Conditions subjectives liées aux penchants psychologiques, aux coutumes. Perception des revenus passés et futurs en plus des revenus présent. Estimation de la valeur de son patrimoine, de son capital. Les facteurs subjectifs sont supposés invariables à court terme. Les différences s’annulent à l’échelle macroéconomique.
Le niveau macro de consommation dépendrait essentiellement du revenu disponible.
C=C(Y)
C= cY+Co avec Co ( consommation incompressible)
PMC = C/Y (consommation finale/revenu disponible)
* Les comportements d’épargne dépendent essentiellement des revenus aussi. * Les différents motifs subjectifs d’épargne en dehors des revenus.
1er motif : la précaution ; pour faire face à un évènement imprévisible (maladie,décès)
2ème motif : la prévoyance : pour un évènement prévisible (naissance, retraites, études)
3ème : arbitrage entre le présent et le futur.
4ème :Indépendance avec la liberté d’action (année sabathique)
L’épargne est une marge de manœuvre pour les placements. Il faut aussi tenir en compte l’esprit de famille (esprit de transmission, ou pas). * AU final l’épargne part de revenu qui n’est pas consommée serait fonction croissante du revenu
Y = C + S => S=Y-C => Y-C(Y) => f(Y) différent de f(I)
A l’échelle macroéconomique les différents motifs subjectifs ont tendance à s’annuler et l’épargne dépendrait essentiellement du niveau de revenu. Le taux d’intérêt agit sur la répartition de l’épargne mais pas sur le niveau de l’épargne. Dans un esprit keynésien il n’y a pas à récompenser l’épargne.
Fonction d’épargne : si