Constantine: analyse du film
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Qui peut encore dire de nos jours qu’il n’a jamais vu Simba devenir roi, ou encore qu’il n’a aucune idée de ce dont on parle lorsqu’on dit : « Luke, je suis ton père! » ? Les films ont marqué l’univers de notre imaginaire, certains plus que d’autres, et certains réalisateurs sont passés à l’histoire, pensons entre autres à Tim Burton, Steven Spielberg ou Christopher Nolan, qui ont tous trois eu leur moment de gloire. Pourtant, ces génies du long-métrage sont trop souvent des incompris, du fait qu’ils passent d’innombrables messages codés dans leurs œuvres, que ce soit par les jeux de couleurs, les objets, les dialogues, les actions, les noms et bien d’autres procédés. Un film, parmi tout l’éventail cinématographique qui s’offrait à moi, a retenu mon attention par tous les symboles du sacré qui y foisonnent, tout en restant occultes à un œil inattentif. Il s’agit en fait du film fantastique aux critiques controversées Constantine, réalisé en 2005 par Francis Lawrence, qui s’est fortement inspiré de la bande dessinée Hellblazers, et mettant en vedette Keanu Reeves dans le rôle de John Constantine et Rachel Weisz dans ceux d’Angela Dodson et Isabel Dodson, les trois personnages principaux autour desquels l’intrigue tourne tout au long de l’histoire. Ce film, que je considère comme un chef-d’œuvre cinématographique, un incontournable pour qui veut s’instruire en matière de cinéma, m’a permis d’aller plus loin qu’avant dans l’analyse des films que je regarde. Ma première tentative m’a permis d’explorer globalement le film Constantine, ce qui m’a mené à y analyser l’organisation du temps et de l’espace, puis les rituels, les gestes et les personnages, pour finir avec tous les symboles tangibles que l’on peut déceler dans le film, et les liens que l’on peut faire avec tout cela avec des récits sacrés.
Constantine FICHE 1 : Interprétation globale du film | Le film Constantine raconte une histoire complexe où John