Comme le montre le pronom tonique « moi ». a la r16 elle parle d'elle à la 3ème pers, ironie par mention, elle reprend les termes de sa famille employés à son propos.
R17 à la fin : « écoute moi », impératif pour ramener sa sœur à la raison, mais écho « je ne t'écoute pas ». 2 tirades antithétiques. « comme tu as bien tout pensé » ironie par mention de la r1, écho ironique. Tentative de rapprochement d'I par le geste, mais cette tentative est vaine.
A refuse le dialogue, elle accepte ensuite mais de manière négative ce qui l'a conduit à son isolement. 2 persos différents antithétiques. Portrait d'A paradoxal. Elle veut mourir et vivre en même tps.

LA 2 : avant ce passage, dialogue entre I et A. A révèle à sa sœur qu'elle a déjà enterré son frère, C est averti par les gardes, il congédie ces derniers pour pouvoir raisonner sa nièce. C apparaît comme qq'un d'humain et tendre (différent de celui de sophocle).
→ Comment ce passage met-il en scène l'isolement d'une héroïne complexe ?
I-les persos qui sont différents dans leur portrait.
A-C paternel et protecteur 1.Il veut sauver A malgré elle et pour cela, il est prêt à agir r7 « je ferai disparaître ces 3H » r40 « je me charge du silence ds autres » il a les choses en mains. Ordre ac l'aide du futur « ta nourrice dira comme toi »
2. une sensibilité paternelle evoca° du cadeau fait à A qd elle était petite, il aime les bb. Il l'apostrophe par un nom affectif « moineau » (renvoie aux noms d'oiseau de la nourrice). « il n'y a pas si longtemps » indicateur temporel. On sait grâce aux didascalies qu'il lui sourit, lui prend le bras...
3. C. est lucide il connaît le regard négatif ds ados sur les adultes et l'intègre.
Malgré le bon sentiment de C envers sa nièce, il n'arrive pas à la persuader de vivre, car A est un perso complexe à la fois doux et obstiné.
B- Antigone 1-Sa douceur elle apparaît ds les didascalies, elle est respectueuse, elle écoute C, ne lui coupe pas la parole. Son tps de parole est limité, elle le