Corpus de texte
En effet, chaque auteur nous propose une dénonciation de la guerre, implicite ou non. C’est alors que nous la retrouvons dans le récit de Jean de La Bruyère où il met plusieurs sorte d’animaux qui après, certaines actions « Mais si vous voyez deux chiens qui s’aboient, qui s’affrontent, qui se mordent et se déchirent, vous dites : « Voilà de sots animaux » » (l.13-14), l’écrivain souhaite nous transporté dans un univers où les hommes pourraient voir leur reflet à travers ces animaux « Vous prenez un bâton pour les séparer » (l.15). L’auteur nous fait voir plus loin dans le récit sa dénonciation de la guerre « les lances, les piques, les dards, les sabres et les cimeterres. » (l.26-27). Jean de La Bruyère nous fait sentir les instruments et conséquence d’une guerre « vous voilà munis d’instruments commodes, qui vous servent à vous faire réciproquement de larges plaies d’où peut couler votre sans jusques à la dernière goutte, sans que vous puissiez craindre d’en échapper » (l.30à32).
Voltaire préfère lui