Le Caousou, école réputée pour les excellents résultats scolaires de ses élèves, était, un vieux bâtiment des années mille huit-cent, entouré d’un Parc d’une grandeur et d’une beauté époustouflante. Les bosquets du Parc étaient composés de hauts-arbres sur lesquels étaient accrochées des balises à poinçons pour que les étudiants du collège et du lycée puissent faire des courses d’orientation en éducation physique et sportive. Les petites cours de récréations étaient situées du côté droit du bâtiment principal et, descendaient sur une centaine de mètres jusqu’à l’endroit où se trouvaient les classes de maternelles. Il y avait quatre cours : en premier celle des lycéens, en deuxième celle des troisièmes et des quatrièmes, plus bas se tenait celle des élèves de sixième et de cinquième et pour finir les enfants du primaire. Le terrain de sport, lieu des premiers amours ainsi que des affrontements au football entre adolescents. En effet, Le Caousou a été un endroit calme, où tous les élèves étaient adorables et les professeurs sympathiques.

Paul, un élève charmant étant dans la meilleure classe de seconde, la numéro cinq, était brun aux yeux vert noisette, un sourire magnifique d’une luminosité incandescente. Il avait toutes les plus belles filles du lycée à disposition grâce à son charisme d’Apollon. En plus d’être beau, Paul était un excellent élève, avec beaucoup d’humour, qui lui valut les félicitations tout le long de sa scolarité.
Le Jour venu où la totalité des secondes durent écrire la nouvelle fantastique en devoir à temps limité, séparé en deux fois deux heures, le lundi et le mercredi. Quand il eut le sujet, que sa professeur de français avait écrit au tableau, il fut tourmenté, ne trouvant aucune idée valable. Les simples deux heures destinées au brouillon, passèrent très doucement, tellement que pour lui, elles furent comme une longue journée de travail fatigant. A la fin du temps règlementaire, il rendit une copie blanche. Le soir, à l’internat, en