Expression écrite

Il était sept heures ce matin quand le soleil se levait. Les rayons du soleil entèrent dans la pauvre petite cabane des trois paysannes, une mère et ses deux filles, le père était mort mais personne ne sait vraiment pourquoi. Il était temps pour elles d'aller aux champs. Il faisait déjà chaud dehors mais il fallait aller travailler pour pouvoir espérer manger. Les moissons étaient finies et les récoltes furent abondantes. Le travail des trois femmes était très pénibles, elles étaient courbées toutes la journée, du matin au soir pour espérer ramasser quelques épis de blé. Mais une nuée d'oiseaux prêt, eux aussi à picorer les épis oubliés leurrent volèrent une grande partie de leurres récoltes. La mère se faisait âgée et avait du mal à finir ses journées interminable. Et comme si cela ne suffisait pas, la famine venait s'ajouter a cela . Mais elle ne pouvait pas se défaire de cette vie de pauvreté qui les rongeaient petit à petit. Car elles n'avaient aucun sous en poche. Elles étaient donc condamnées à vivre une vie de misère.
Un jour la fille aînée tomba gravement malade. Mais la famille ne pouvait pas se payer de médecin . Elles se rendirent vite compte que ce fus la tuberculose. La famille ne pouvant rien faire pour aider la malade continuait leur vie presque comme si de rien n'était. Mais sa maladie s’aggravait et personne ne venait les aider. Elles étaient loin de tout, le premier village était à une dizaine de kilomètres.
Un matin, son état s'était tellement dégradé qu'elles décidèrent d'aller au village en espérant qu'elles y obtiendrait de l'aide. Mais elles n'étaient pas folles, elles se doutaient bien que sa fin fut proche si elles ne trouvèrent pas de médecin. Avec les moyens du bord elles fabriquèrent un brancard. Sur la route, la malade montrait des signes inquiétants. Elles la soutenait avec des mots réconfortants. Mais quand elles virent le village de loin il était déjà trop tard. La maladie l'avait