L’information pour Shannon et Weaver est une valeur mathématique avec un rapport inversé entre la probabilité des signaux et l’info transmise. C’est la mesure de l’imprévisibilité. Donc pour eux, une info en est une uniquement quand elle parle de quelque chose d’imprévisible, d’un « scoop » comme on dirait de nos jours.
Redondance : fraction du message qui est déterminée non pas par le libre choix de l’émetteur mais par les règles statistiques qui gouvernent l’emploi des symboles. Ex du langage humain : quand on met « ils » on met « ent » à la fin du verbe. Donc le langage humain obéit à des règles statistiques. Cela permet de contrer le bruit. Mais trop de redondance devient du bruit. Ex : un je t’aime dans un mail entouré de blabla, on ne comprend plus le message. Il y a donc redondance et bruit.
Norbert Weinner : émetteur -> récepteur

Bruit : Tout ce qui perturbe la transmission du signal. Peut donc être sonore mais aussi visuel, cela peut même être du silence. Ex : pas de son quand on est au téléphone dans le métro (silence).
EMETTEUR cerveau -> appareil phonatoire ; geste  Bruit sémantique. Pensée problème d’encodage Ex : langue étrangère, mot qu’on ne reconnait pas.
RECEPTEUR Yeux -> décodage  Bruit sémantique Ex : dans un texte on peut comprendre des mots sans comprendre le sens du texte.

Dans les années 60 et plus :
Ecole de Palo Alto. Pour Shannon et Weaver la communication est verbale et volontaire alors que ce n’est pas le cas pour l’école de Palo Alto. Watzalewick « on ne peut pas ne pas communiquer »