Cours de cassation chambre mixte- 17 octobre 1975
Cours de Cassation Chambre Mixte- 17 Octobre 1975
Les Faits : Madame A divorcé de L, marié a présent avec R a été licencié par son établissement catholique le 3 septembre 1970
Procédure : Madame A, souhaite des dommages-intérêts cause d'un licenciement selon elle abusive. La chambre civile déboute la demande. Le demandeur fait donc appel et voit sa demande a nouveau rejeter. L’épouse décide alors un pourvoi en cours de cassation.
Prétentions des parties ; La cours d'appel décide qu'il ne s'agit pas d'un licenciement abusif puisque dans un établissement privé malgré que le mariage soit d'ordre public, les maitres doivent se soumettre au règles et valeurs transmisse par celle-ci, dont l'indissolubilité du mariage. Sinon « la bonne marche » de l'entreprise (de son employeur) risque d’être compromise. La cours de cassation casse l’arrêt d'appel .
Sens de la décision : La cours de cassation juge que la cours d'appel a violé l'article 1er et 5 de la loi n°59-1557 du 31 décembre 1959, car dés lors que lié a l’État par un « contrat simple », il est accessible a « tous les enfant, sans distinction d'origine, d'opinions ou de croyance », et doit prodiguer l'enseignement « dans les respect total de la liberté de conscience ». Or Le Cours Sainte Marthe étant un établissement catholique, ce justificatif est insuffisant pour transgresser ce principe car il ne s'agit pas d'un cas très exceptionnels.
Problème de droit: Quels sont ces cas exceptionnels dont parle cette loi