availIntroduction * Le travail s’impose d’abord comme une nécessité, c’est une activité propre à satisfaire nos besoins. Constat travail lié à la souffrance, à l’effort. Travail tripalium (lat : instrument de torture). Les exemples de suicide au travail, de pathologies liées au travail rappellent que le travail c’est souvent une forme de servitude dont les hommes rêvent de s’émanciper. C’est pour ça que les stés modernes ont créé l’idée de vacances justement pour que notre vie ne se réduise pas au simple métro-boulot-dodo. Depuis d’un siècle, réduction du temps de travail apparait comme une conquête sociale permettant à tous d’accéder à + de liberté. Le progrès technique permet d’alléger les taches les + pénibles. On peut dire que le travail semble être une nécessité à laquelle l’homme est soumis et dont il tente d’échapper en inventant d’autres formes d’activités que celles du travail. * Cependant, le travail reste bien une valeur positive, on continue à penser que le travail permet la réalisation de soi, qu’il est la forme principale du lien social et qu’il est l’activité essentielle par laquelle l’homme transforme la nature et se transforme lui-même. Le travail reste bien l’activité fondamentale de l’homme. L’homme qui ne travail pas se sent exclu, perte d’un emploi forme de souffrance puisqu’elle engendre un risque d’exclusion, une culpabilité de la part de celui qui ne travail pas. Celui qui ne travaille pas est accusé de parasiter la sté , celui qui est considéré comme un assisté. On demande à celui qui ne travaille pas d’accepter n’importe quelle offre d’emploi. Travail est considéré comme un facteur d’intégration, il est aussi l’essentiel de notre vie. Il reste orienté toujours vers le pb de l’argent, de la réussite sociale, du culte de la performance donc on continue à penser que le travail c’est le moyen de remédier à l’ennui, de progresser collectivement, d’obtenir richesse, prestige et prospérité. * Il s’agit de se demander s’il n’y a