Crainte que la machine travail pour l'homme
Les machines , c'est à dire des ensembles de dispositifs destinés à recevoir une certaine forme d’énergie et à la transformer pour produire un effet donné, ont été à la base conçues dans un contexte de production industrielle. C'est pourquoi, dans une première partie, nous verrons que dans ce contexte, la machine peut parfois remplacer l'humain. Mais dans un second temps, nous réfuterons cette idée en montrant que la machine peut-être bénéfique à l'homme si celui-ci arrive a la contrôler techniquement pour qu'elle ne lui nuise pas. Nous traiterons donc du sujet dans le sens où la machine apparaîtrait comme un concurrent du travailleur. Et enfin, nous nous interrogerons sur une possible coexistence entre l'Homme et la machine dans une société futuriste. Alors nous traiterons le deuxième sens probable du sujet où la machine pourrait être au service de l'Homme.
En premier lieu, Karel Capek, un écrivain tchèque du XXème mit en scène dans une de ses pièces de théâtre une machine faisant le travail des humains, nommée « robot » (travailleur en tchèque). Mais cet objet technique n'éveillait aucune crainte puisqu'il visait a priori à soulager le travailleur d'une souffrance, de la fatigue, ou encore permettre de réaliser des choses inaccessibles a l'humain. On sait que Capek a écrit cette pièce dans le but de dénoncer les dangers potentielles que pourrait engendrer le développement des machines. Un siècle plus tard , on constate que les machines sont potentiellement source de crainte de la part des travailleurs, qui redoutent de