Au 18eme siècle et comme en tout temps, l'injustice cours le monde. C'est dans ce but que Voltaire va se moquer de cette justice corrompu et absurde. Nous pouvons voir des les première linges, comment Voltaire dissocie les classe social entre le Hero Zadig et la haute société avec des superlatifs constant comme « Le grand veneur » « Le premier »l.1 « du grand Desterham »l.3..
Le héro quant a lui est accusé d'avoir soit disant volé la chienne et le cheval du roi, dénoncée par le grand veneur et le premier eunuque qui « ne doutèrent pas qu'il eu volée le chien de la reine et le cheval du roi » l.2 ceci montre bien que le jugement et basée sur des non faits non prouvée et non démontrée, juste une rumeur de « on a dis que ». Le hero se vois donc être condamner au fouet et a passer sa vie en prison en Sibérie... Et la après un jugement très rapide et sans appel « a peine le jugement rendu » l.5, nous retrouvons le cheval et la chienne, ce bouleversement montre d'une part la total incapacités des juges a rendre correctement la justice et d'autre part montre a quel point les juges ne porte aucun itéré a l'individu condamnée et n’hésite pas a lui arracher sa libertés sans égard et surtout sans preuves. De plus nous pouvons notée la corruption total des juges l.6 puisqu'ils « furent dans la douloureuse nécessité de reformer leur arrêt ». L'adjectif « douloureux » montre une certaine « haine » cachée envers ce malheureux Zadig car les juges doivent encore perde leur temps précieux pour ce personnage insignifiant a leur yeux et de devoir reformulée son arrêt. Ainsi ils vont montrés leurs mécontentement en obligent Zadig a payez une « amende » de 400 once d'or, alors qu'il vient même d’être prouvée innocent et après seulement avoir le droit de plaider sa défense. Ceci renforce le coter absurde du fonctionnement de la justice. Si nous portons attention au linges 7-8 « pour avoir dis qu'il n'avais point vu se qu'il a vu »l.8 elles nous laisses supposées que si le hero se