Critique de voltaire
Dans le Chapitre 1, Voltaire cible quelques partis de la société. L’église et la société sont les cibles de Voltaire dans le premier chapitre.
Il arrive à critiquer l'église en montrant la contradiction entre le discours et les actes : ivresse des repas, bénéficier qui utilise l'argent des plus pauvres pour des excès, contradiction « elle aimait le plaisir et était dévote ».
Il arrive à la critiquer, en faisant dire à St-Dunstan (un saint de profession) des moqueries des légendes de l'église alors que normalement un saint de profession devrait croire aux légendes mais Voltaire veut montrer le contraire.
Il réussi à critiquer la société en protestant le manque d'ouverture, préjugés sur les Iroquois : « étonnée et enchantée de voir un Huron qui lui politesses »
Il montre l'opposition entre la simplicité du Huron et la complexité de la société européenne : « Le jeune homme leur répondit qu'il n'en savait rien, qu'il était curieux, qu'il avait voulu voir comment les côtes de France étaient faites, qu'il était venu, et allait s'en retourner », contact simple, sans souci d'étiquette...
Il montre aussi l'égocentrisme de Mlle de Kerkabon : « très choquée du peu d'attention qu'on avait pour elle ».
Dans un seul chapitre, Voltaire montre déjà de nombreuses cibles de la société, j'imagine qu'il y en aura beaucoup plus au fur et à mesure du livre car Voltaire est bien connu pour cela, il critiquaient beaucoup l'église et le roi, il vécut la plus grande partie de sa vie dans la crainte constante d'être