Critique- les cerfs-volants de kaboul
C’est Hassan qui a permis la victoire d’Amir dans le tournoi aux cerfs-volants. Ce qui accorda, à Amir, la reconnaissance de son père, car Amir voulait son père pour lui seul. À la course aux cerfs-volants, Hassan repérait le point où ceux-ci tombaient, il dépassait tous les coureurs. Les garçons s’amusent bien et sont inséparables jusqu’au jour où Amir a failli à son rôle d’ami, alors qu’Hassan se fait violer sous ses yeux. C’est la peur qui a empêché Amir de défendre Hassan. Sous le joug de son père (Baba), Amir n’avait pas eu la chance de développer la bravoure et la hardiesse nécessaire à la vie. Ce que Hassan avait développé naturellement. Amir ne pouvant affronter ses remords et la guerre faisant rage, Baba et Amir partent vivre aux États-Unis. Mais pour Amir, la culpabilité demeure. Tandis qu’Hassan reste avec le sentiment d’abandon, car dans sa grande bonté, Hassan ne semble pas lui tenir rigueur.
L’ami de Baba, Rahim Khan, annonce à Amir que Hassan et sa femme, sont assassinés par les talibans et laissent un orphelin du nom de Sohrad. «