Critique littéraire de "voyage au bout de la nuit" (chapitre 2)
Tout d'abord Voyage au bout de la nuit est un roman qui a pour but de créé polémique, le sujet même de la lâcheté mêlée à la guerre n'est pas promut par les symboles de la République. « La Marseillaise » notre cher hymne national met an avant le patriotisme guerrier qui se bat avec bravoure contre tout ennemie de la république. Ce modèle nationaliste est contré lorsque le narrateur, Ferdinand Bardamu, dit « j'aurais bien voulu le voir ici moi, le Déroulède dont on m'avait tant parlé, m'expliquer comment qu'il faisait, lui, quand il prenait une balle dans le bidon ». L'utilisation du « lui » accentue le fait que Ferdinand accuse Déroulède, l'auteur nationaliste, qui lui ne fait qu'écrire et pas se battre ou entendre les balles d'aciers filer à quelques millimètres de la tête des soldats. Céline met en cause l'autorité du pays et de ces écrivains qui comme «La Marseillaise » énonce que la protection du pays est primordiale et que la mort de tous ses ennemies est nécessaire pour garantir les libertés de tous. Ce discours très populaire à l'époque est