Critique théories
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.Cependant, l’idée qui montre que les classes sociales les plus pauvres ont la même opportunité que les classes moyennes ou accommodées pour atteindre leurs buts est une notion qui doit être développée avec précaution. On saitmaintenant que la majorité est obligé a se mentaliser de la réalité et de fixer leur but par rapport à leur situation spécifique De la même façon, croire que la différence entre lesaspirations et les opportunités seulement à lieu dans les classes les plus basses est uneidée trompeuse, car « ils existent beaucoup de pressions vers une activité déviante dansautres groupes, comme le fraude ou l’évasion de taxes ou impôts (« les délits en col blanc »).
La théorie de l’étiquetage se pose sur la base qu’aucun acte de délinquance n’est intrinsèquement délictueux. Ceux qui critiquent cette théorie considèrent qu’il y a un nombre particulier d’actes qui sont complètement interdits, n’importe dans quelle culture, mais cette idée n’est pas du tout vrai : par exemple, pendant une guerre, « tuer aux ennemies est considéré comme un acte positif et bénéficiant pour le pays. On pourrait, par contre, critiquer la théorie de l’étiquetage plutôt dans un sens pratique et actif : les auteurs comme Becker oublient de considérer les processus qui mènent aux actes« déviants », car qualifier certaines activités comme telles n’est pas vraiment une pratique complètement arbitraire. Les différents modes de socialisation, les opportunités et les attitudes jouent un rôle important « dans le niveau de participation des personnes en comportements susceptibles d’être étiquetés comme déviants» Aumême