Alors que de nos jours nous savons que les objets ont prit une place très importante dans le monde, nous allons nous interroger tout d’abord sur la place des objets et ensuite nous verrons quelles sont les limites de ces objets. Nous avons pour nous aider, un corpus de quatre documents, le texte de Karl Marx, Le Capital, celui d’Emile Zola, L’assommoir, celui d’Yves Eudes, Les Prodiges de Sophie et la caricature de Plantu, Wolfgang, tu fera informatique.

Nous allons commencer, pour déterminer la place des objets par définir ce qu’est un objet pour chaque auteur de ce corpus.
Un objet est une chose concrète, perceptible par la vue et le toucher. Pour Karl Marx, l’objet est l’outil, la machine capable de remplacer le travail de l’homme. Dans le texte d’Emile Zola, les objets sont des boulons et rivets. Dans le texte d’Yves Eudes, l’objet est Sophie, c’est un logiciel, une application capable de rendre tous les services, tous les savoirs. Dans le document de Plantu, l’objet est l’invention, chaque invention de l’homme est un objet.
Les objets pourraient rendre la vie des hommes plus heureuse. Effectivement, on voit que plusieurs de ces auteurs s’interrogent la dessus. On voit par exemple qu’Emile Zola dans son texte se demande si le fait que les machines remplacent les hommes ne servirai pas au bonheur de tous. Yves Eudes rejoint cette théorie puisque pour lui, les machines détruirai des emplois pour en faire de nouveaux plus satisfaisant.

Nous allons maintenant voir les limites des objets. Pour cela nous allons commencer par parler de la place de plus en plus importante des machines et objets qui vont remplacer l’homme. Nous pouvons voir qu’Emile Zola nous dit que les machines surpassent l’homme, ils ont un meilleur rendement et un plus faible cout, l’homme s’inquiète donc du fait que bientôt les machines remplaceront l’homme. Plantu, dans sa caricature fait aussi allusion à cette théorie, puisqu’il nous montre qu’au fur et a mesure la machine prends la