Das Leben der Anderen p.89-98
cimetière: C'est l'enterrement de Jerska, il pleut et il y a à peu près 50 personnes réunis pour l'évènement.
Hauser s'approche de Dreyman et les deux hommes disent qu'ils ne savoient pas que Jerska allait autant mal.
Dreyman se sent coupable de n'avoir rien fait, Hauser répond que l'on peut toujours faire quelque chose. Cette phrase va grandement affecter Dreyman.
C'est ce qui va le pousser à écrire un article dans lequel il parle des statistiques de l'administration centrale.
Ces derniers ont en effets des statistiques pour tout (chaussures,livres..) mais la seule chose qui n'est pas répertorié est le nombre de suicide. Dreyman suppose que c'est parce que ce chiffre dérange.
Si on essaie de se renseigner auprès du centre sur ce chiffre, on risque d'être dénoncé au service de sécurité de l'Etat.
C'est à partir de 1976 qu'ils cessèrent de comptabiliser les "suicidés" ainsi leur mort était vidé de tout son sens et représentait une mort de l'espoir.
En 1976 le seul pays ayant un taux de suicide supérieur à celui de l'Allemagne était la Hongrie. Dreyman déclare que l'un des suicidés fantôme est Albert Jerska, un grand régisseur décédé le 4 décembre et c'est de lui qu'il va parler.
Hauser: Dreyman arrive chez Hauser et lui dit qu'il a fait des recherches sur les statistiques mais Hauser l'interrompt afin qu'il ne finisse pas sa phrase car il pense être sur écoute. Hauser met de la musique afin que Dreyman et lui puisse parler tranquillement. Ce dernier propose de se retrouver chez lui mais Hauser lui donne rendez-vous à 15h au mémorial.
Mémorial: Dreyman est rejoint par Hauser et Wallner. Plus loin il y a Andi, le "petit garde personnel" de Hauser qui est censé le surveillé discrètement pour le compte de la Stasi. Les trois hommes peuvent enfin discuter tranquillement.
Dreyman leur remet l'article qu'il a écrit et déclare vouloir le faire publier à l'ouest avec l'aide de Hauser. Ce dernier accepte à condition qu'il n'en