Titre du texte proposé. |« Correspondances », page 114 |Lettre à Paul Demeny (15 mai 1871), page 129 |« Sonnet XIX », page 81 |« Le vallon », page 108 |« Je sais maintenant que je ne possède rien » (1er vers donne le titre), page 89 |« Horror (IV ) », page 112 |« La société est sauvée », page 126 |« Jugement » (chant VII), page 328 |« Discours des misères de ce temps. », page 326 |« La poésie doit avoir pour but la vérité pratique. », page 134 |« Strophes pour se souvenir », pages 136-137 |« Fonction du poète », pages 124-125 | |Auteur |Baudelaire (1821-1867) |Rimbaud (1854-1891) |Louise Labé (1524-1566) |Alphonse de Lamartine 1790-1869) |Philippe Jaccottet (1925-) |Victor Hugo (1802-1885) |Victor Hugo (1802-1885) |Agrippa d’Aubigné (1552-1630) |Pierre de Ronsard (1524-1585) |Paul Éluard (1895-1952) |Louis Aragon.(1897-1982 |Victor Hugo (1802-1885) | |Recueil |Les fleurs du mal (1857) |Correspondance de Rimbaud (1871) |Sonnets (1555) |Méditations poétiques (1820) |L’Effraie et autres poésies (1953) |Les contemplations (1856) |Les châtiments (1853) |Les tragiques (1577-1616) |Discours des misères de ce temps (1562) |Deux poètes d’aujourd’hui (1947) |Le roman inachevé (1956) |Les Rayons et les ombres (1840) | |Contenu |L’homme ordinaire ne voit pas la complexité de la nature, de la réalité. |Le poète est un explorateur, par tous les moyens, de cet inconnu qu’est l’univers poétique. Il doit ensuite trouver une forme[1]. |Le poète se plaint de la fatalité de l’amour qui conduit à faire souffrir. |Le poète évoque la nature en automne, il célèbre la nature qui est source de réconfort et d’admiration. |Le poète parle du sentiment du temps et trace le bilan d’une vie. Supériorité de la nature/faiblesse de l’homme. |Le poète exprime ses angoisses devant l’infini du monde et du temps ; |Le poète crie son indignation et prend position (ici contre Napoléon[2] III), il appelle à la révolte. |Il dénonce l’horreur des guerres civiles et les conséquences désastreuses pour la