De l'avantage concurentiel n'est pas le fruit du hasard.docx
Monsieur ABDELLAH AMLLAH professeur d’économie à l’ISCAE indique que l’industrie marocaine représente environs 28% du PIB marocaine, avec ces différent secteur, l’industrie alimentaire absorbe la part la plus important de l’industrie, en second lieu l’industrie du bâtiment qui est en face d’explosions, malgré ces éléments il reste dur de comparais le Maroc avec les pays émergent, vue que ces dernier leurs industrie représente plus de 60% des PME et que 80% des ces dernier exporte ces industrie directe et indirecte alors que le Maroc avec plus de 95% des PME, seulement 5 à 10% qui participe a des activité d’exportation pour quoi donc se recule ? Face une perte de compétitivité dont témoignent une croissance plus lente des exportations et une amnésie du marché mondial le Maroc se trouve aussi dans la faiblesse de la collaboration avec les université en matière du recherche et développement ce qui a impliqué une souffrance dite sadique et rude du manque de l’industrie de base, ainsi que l’inquiétant dynamisme du secteur manufacturier qui a concouru à l’augmentation du taux de chômage.
De ce faite la comment peut on draine ces investissement ? Monsieur ABDELLAH AMLLAH indique que la résolution de cette dernier peut être résolut mais suite a plusieurs modalité citons la combinaison des facteurs de productions capital et main d’œuvre intellectuel, dans le cadre de la formation professionnel et académique, en contre partie malgré l’articulation du plan d’émergence autours de deux axe qui est la création de la richesse et le développement de l’exportation, ce dernier qui ne peut relancé cette dernier puisque les principales exportation marocaine se génère sur le textile et les produit de la mer en 1er lieu .
Le plan d’émergence n’est pas seulement le secteur textile, produit de mer ou autre ; le Maroc vise aussi